Ā la croisée des chemins,
Inspirée du tout et du rien,
Passionnée de ce monde jusqu'à plus faim !
Fourvoyez-vous, mais ne me critiquez pas en vain,
Si de mon côté, je vous tends la main...
Regardez, acceptez, ce que je suis, la rosée du matin
Qui
inonde la vie et s'efface avec le soleil du lointain.
Faisant de sa fraîcheur, la nourriture de demain.
Tous ces mots sont mon essence, tel un tendre refrain !
Croyez ou refusez, sera votre destin...
Sachez que ça ne vous avancera à rien,
de me voir comme le reflet, de votre être
malsain !
Moi qui ne fait que réveiller votre coté divin...
Vous qui m'accusez de vos maux, de vos chagrins,
votre conscience pour autant ne vous pèsera pas moins !
Fatiguée de votre regard perfide et hautain,
Soutenue par tant d'autres qui me font du bien.
Et pour lesquels, tisser de forts liens,
a plus de valeur que de médire
son prochain !
C'est fort dommage, pour ceux qui se perdent en chemin.
★ ომΓყ ★